Voilà plus de vingt ans qu’il ne tient pas en place ; entre New York et Paris, ses deux amours, il n’a pas choisi. Français de père et américain de mère, il a gardé le meilleur de ces deux mondes. Comme Ahmad Jamal, il aime le jazz énergique, ancré dans le swing, qui a le goût de la vivacité et le sens de l’interaction. Jacky Terrasson aime aussi tout simplement les rencontres improbables. Il revient avec une formation musclée, rythmique, incluant un beat boxer et un percussionniste malien dans un répertoire imprégné des musiques latines. Excitant, non ?