Jamais dans le jazz aucun pianiste n’aura su réunir virtuosité, musicalité et humour autant que notre Martial national.
« Solal qui traite tout avec cette fausse désinvolture qu’on peut appeler tact ou pudeur; même virtuose, il demeure discret, mettant par-ci par-là une touche d’humour, légère, afin de ne rien imposer de trop grave, laissant la musique se faire en nous, laissant sous le charme un public qui fut rarement traité avec autant de respect : Solal ou la délicatesse ».
Jean-Yves Le Bec/Jazz Hot