“Il m’a suffit d’une fois pour ressentir les forces intérieures qui pouvaient animer le contrebassiste Paul Rodgers. Il m’a suffit d’une fois pour comprendre le sens du jeu méthodique et poétique du jeune guitariste Maxime Delpierre. J’ai rêvé de jouer avec le premier lors de mes premières années d’essais à l’Improvisation libre … Aujourd’hui je croise mes fers avec lui au sein de l’ONJ. J’ai souvent joué avec le deuxième dans de multiples contextes
improvisés, et j’ai souvent apprécié (et je n’étais pas le seul !) sa musicalité et sa poétique. L’invitation du festival de Coutances me permet de créer cette rencontre et de vivre au premier rang celle ci avec délectation. Le choix des musiciens s’est décidé de façon sensitive, comme un jeu de hasard, une machine à sous … Mon nez a jeté trois dés et ce “421 “s’est affiché sur ce choix délicieux. Nous ne jouerons pas aux jeux de hasard, mais nous improviserons … en jouant. ” Médéric Collignon.