Paul Lay est un jeune pianiste de 32 ans, qui a reçu en 2016 le prix du meilleur artiste de jazz français (Prix Django Reinhardt décerné par l’Académie du Jazz). Il a été nourri depuis sa tendre enfance par de multiples musiques allant de Bach à Ellington en passant par Ravel. Des influences que l’on retrouve dans son jazz à la structure délicieusement complexe et toujours au service de l’émotion. Avec le batteur belge Dré Pallemaerts et le contrebassiste néerlandais Clemens Van Der Feen, la partie rythmique est de première classe. Cela se voit, cela s’entend : ce trio-là s’amuse, et ira loin.