Musicien subtil, fin mélodiste, Pierre Durand se plait à explorer les multiples facettes du jazz. Passant d’une ambiance à une autre, d’un horizon à un autre, il puise dans les racines de la musique afro-américaine. Son jazz sans case et sans étiquette, sous une apparente simplicité passe de l’Afrique ancestrale à Charles Mingus, d’un menuet baroque aux incantations chamaniques des indiens d’Amérique. Tout se mêle en un rêve qui passe. Une sorte de déclaration raffinée à toutes les musiques. Ce concert est soutenu par la Spedidam.