Pour décor, une palissade truffée de vieux bibelots et bouts de coton. Pour scénario, le petit Chaperon Rouge. A première vue une histoire banale et connue de tous mais revue et (très) corrigée par Lorgnette, impertinente et toujours surprenante. Elle nous offre un Chaperon Rouge capricieux, une Mère-Grand peu commode et un loup féroce à souhait. Un spectacle visuel absurde et décalé.