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Chroniques

Pulcinella et Maria Mazzotta : fusion méditerranéenne

De Toulouse à Tirana en passant par Solento, c’est à un voyage méditerranéen que les spectateurs étaient conviés sous le chapiteau du Magic Mirror, en ce début d’après-midi du traditionnel dimanche en fanfares.

…Et les spectateurs sont particulièrement nombreux, cet après-midi ! Nous avions déjà eu le plaisir d’accueillir le quartet toulousain Pulcinella à Jazz sous les pommiers en 2013. Ils nous reviennent aujourd’hui  avec la chanteuse italienne Maria Mazzotta, riche de la culture des Pouilles, cette partie du sud de l’Italie qui connaît actuellement un important renouveau musical. C’est dans la région du Salento plus précisément qu’a été puisé la majeure partie du répertoire joué ici. Dès le premier titre, l’ambiance est donnée : une tarentelle effrénée, pleine de fougue et d’énergie, une musique à la fois à danser et à écouter. S’ensuivent une chanson venue d’Albanie, pays très proche géographiquement du Salento, et Avanti, un chant lumineux et joyeux, teinté d’une pointe de mélancolie, repris en chœur par le public. Changement total de climat avec Bella ci dormi, émouvante sérénade, très joliment introduite à la contrebasse, rejointe par la voix déchirante de la chanteuse, dans un climat dépouillé qui monte progressivement en intensité : un moment de grâce, bouleversant.

On continuera ainsi à être bousculés pendant tout le concert, entre énergie et émotion, portés par une musique à la fois entraînante et poignante, une véritable fusion à la sauce méditerranéenne.

Texte et photos : Stéphane Barthod

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Ouverture en couleurs avec le trio LBBL

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Fidel Fourneyron en solo : un concert riche et varié

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Laurent de Wilde : enfin Monk !

Comme souvent, Laurent de Wilde fait œuvre de pédagogue.
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orchestre_franck_tortiller © stephane barthod

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Black Pantone : la passion des couleurs musicales

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