La rencontre de l’héritage tzigane et du jazz des années 30 donna naissance à une musique nouvelle, la “valse manouche”, tour à tour chanson parisienne, mélodie tzigane ou thème au swing be-bop. F.A Moerman, guitariste d’exception, perpétue aujourd’hui cette tradition en lui offrant une vitalité nouvelle. Ce n’est pas tant Django qui est évoqué mais plutôt Gus Viseur. Et l’on retrouve le charme d’un jazz au parfum populaire … A partager, le temps d’une danse sur la piste du Magic minors”.