Un groupe réuni autour d’Hubert Travert et Jean-Pierre Hervieu pour célébrer l’été de la libération et l’étroite relation qu’il y avait entre le jazz américain, alors avant tout une musique pour danser, et une partie de la chanson française à la pointe de l’actualité musicale. Pour signifier cette osmose, le groupe fait appel à deux monstres sacrés de l’époque : l’américain Benny Goodman et le français Charles Trenet.