Théo Ceccaldi continue sa mutation ers une quête de simplicité et de lenteur. Après un retour aux sources familiales aec l’album Constantine, il fait le choix d’aller puiser plus profond encore dans ses racines méditerranéennes (corses, algériennes, siciliennes) à la poursuite de son ADN musical. Un oyage contemplatif et apaisé où il est question de rites sacrés, de rêes d’unité, de tolérance et d’humanité. Entouré d’une nouelle génération de musiciens singuliers qui réinentent leurs instruments respectifs, il crée une musique originale, entre folk fantasmée et jazz rétro-futuriste. Une musique organique et habitée, débarrassée de tout effet de style ou de irtuosité superflue.
Aec le CNM et l’Onda